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1905 : La séparation des Eglises et de l'Etat ou de l'opprobre à l'adhésion

Titre : 1905 : La séparation des Eglises et de l’Etat ou de l’opprobre à l’adhésion.

Auteur : Pierre Morisset.

Mots-clés : Eglise ; Etat ; séparation de l’Eglise et l’Etat ;

Nombre de pages : 49. P

Editeur : Association des Amis du Musée de l’Ecole rurale en Bretagne.

Résumé :
En 1905, par 179 voix contre 103, le Sénat adopte la loi de Séparation des Eglises et de l’Etat.
Elle est publiée le 11 décembre au Journal Officiel. Cette loi comprend 44 articles. Elle déclare entre autres que la République ne reconnait, ne salarie et ne subventionne aucun culte.

Table de matières :
– De 1789 à 1882.
– De Jules Ferry à 1905.
– De 1905 à 1914.
– Vers l’apaisement et l’adhésion
– Conclusion

Les problèmes en suspens
L’évolution des cultes de 1905 à 2005
L’Islam en France
Problème posé en 2005 : les bâtiments du futur, les bâtiments désertés
Les régimes particuliers, quel devenir ?
Les cérémonies publiques
Le problème des médias publics
La neutralité dans l’espace public
Les aumôniers
Le respect des lois alimentaires
La loi Debré
Conclusion
Faut-il réviser la loi de Séparation des Eglises et de l’Etat ?
Bibliographie

Au service de l’école laïque. Souvenirs de Madame LE QUELLEC Institutrice.

Titre : Au service de l’école laïque.

Souvenirs de Madame LE QUELLEC Institutrice.

Auteur : écrit par Madame LE QUELLEC et recueilli par Anne Henry et Franch Postic.

Mots-clés : Madame LE QUELLEC ; institutrice ; Ecole Normale des Institutrices ;

Nombre de pages : 53. P

Editeur : Association des Amis du Musée de l’école rurale en Bretagne.

Résumé :
Ce document retrace la vie de Madame LE QUELLEC. Cette dernière raconte les origines de sa vocation et les années de formation au métier d’institutrice à l’Ecole Normale d’Institutrices de Quimper. La dernière partie de son écrit présente ses débuts dans l’enseignement depuis son
premier poste jusqu’aux petits souvenirs qu’elle retient de sa vie d’institutrice.

Table de matières :

1- Les origines d’une vocation.
1-1- Mon père était tailleur -brodeur
1-2- Je n’ai fréquenté que deux écoles.
1-3- Mets tes mains sur les côtés.
1-4- Lire, écrire, compter :
« Asseyez-vous, croisez les bras, ne bougez pas…
1-5- Une journée de classe.
1-6- Les jeux.
1-7- Pour lire, il faut un livre.
1-8- Au Cours Complémentaire.
1-9- Le Brevet Elémentaire.
1-10- Avec le concours de l’Ecole Normale, la route était toute tracée.
2- Les années de formation au métier d’institutrice.
2-1- L’Ecole Normale d’Institutrices de Quimper était un couvent.
3- Je suis enfin une institutrice.
3-1- Mon premier poste.
3-2- Aucun matériel.
3-3- Comme c’était difficile !
3-4- Mais nous avions des vacances !
3-5- Dix ans à Plonéour.
3-6- Ma classe.
3-7- Mes élèves ? Non, mes enfants !
3-8- Apprendre à lire.
3-9- Le breton à l’école.
3-10- Mes souvenirs ? De petites choses précieuses.

L’Ecole, l’Eglise et l’Etat

Titre :
L’Ecole, l’Eglise et l’Etat.

Auteur :
Association des Amis du Musée de l’école rurale en Bretagne

Mots-clés :
Eglise ; Etat ; Séparation de l’Eglise et de l’Etat ; Ecole ;

Editeur :
Groupe d’étude de l’Association des Amis du Musée de l’école rurale en Bretagne, Trégarvan (Finistère).

Nombre de pages : 332.p

Résumé :
Ce document se constitue de deux parties. La première présente le développement de l’Ecole française depuis la Révolution française jusqu’à la chute du Second Empire. En ce qui concerne la deuxième partie, elle met en lumière l’Ecole de la chute du Second Empire jusqu’à la Troisième République. Avant la Révolution, l’église catholique exerçait le monopole de l’enseignement, jusqu’à la Troisième République où les petites écoles vont se multiplier.

Table de matières :

1ère partie : De la révolution française à la chute du second empire
L’Ecole du XVe au XVIIIe siècle. Généralités.
Le Premier Empire et le rôle de l’Etat dans l’organisation de l’enseignement
La Restauration rétablira-t-elle l’influence du clergé ?
La Monarchie de Juillet : vers la fin du Monopole
La Seconde République et l’autorité du prêtre
Le Second Empire ou la préparation du dualisme scolaire

2ème partie : La troisième république ou la prééminence de l’Etat
La Troisième République structure de façon durable l’enseignement obligatoire et met en valeur la notion de la laïcité

Postface
Un passage difficile : celui de l’Etat français
Aujourd’hui ou le poids de l’histoire et ses permanences

Bibliographie succincte
Annexes

Le français, le breton et l’école – Actes du colloque, Trégarvan 29 avril 1995.

Titre :
Le français, le breton et l’école – Actes du colloque, Trégarvan 29 avril 1995.

Auteur :
Association des Amis du Musée de l’école rurale en Bretagne.

Mots-clés :
Langue bretonne ; école de la République ; Bretonnants ;

Nombre de pages : 154.p

Editeur : Denis Jeanson

Résumé :
L’école est considérée comme la première responsable du recul de la langue bretonne, notamment l’école de la République. Plusieurs facteurs comme l’intervention du politique, le rôle de la presse et des médias, les mouvements de la population ainsi que les choix effectués par les bretonnants eux même ont fait que la pratique du breton ne soit pas transformée et ne soit pas adaptée à l’évolution de la société.

Table de matières :
Programme
Sommaire
Avant-propos (Gérard Jaffrédou)
Présence de la langue bretonne dans l’enseignement (H. Cadiou)
Breton et Français au XIXe siècle : les pratiques scolaires (F.Broudig)
Débat
Le comité de Préservation du Breton, entre raison d’Etat et raison d’Eglise (C. Brunel)
Les pratiques pédagogiques à l’égard du Breton, à l’école primaire publique et privée (C. LE DU)
Paroles de marins-pêcheurs, d’agriculteurs et de chefs d’entreprises à propos de la langue bretonne (R. LE COADIC).
Table ronde
Conclusion (Fr.MORVANNOU)

Vers l’école gratuite, obligatoire et laïque. Châteaulin 1794-1905 Tome 1 L’école communale des garçons.

Titre : Vers l’école gratuite, obligatoire et laïque. Châteaulin 1794-1905 Tome 1 L’école communale des garçons.

Auteur : René DANTEC

Mots-clés : Convention Nationale ; école gratuite ; école mutuelle ; éducation physique ;

Nombre de pages : 64. p

Editeur : Association des Amis du Musée de l’école rurale en Bretagne – 29560 Trégarvan 2000.

Résumé :
Ce travail explique l’histoire de la scolarisation depuis la Convention Nationale de 1793 jusqu’aux lois de Jules Ferry. Cette convention prévoit la création d’une école par localité de 400 à 1500 habitants. Le 19 décembre 1793, l’école devient gratuite et obligatoire pour les garçons de 6 à 8 ans. L’école mutuelle voit le jour en 1817 où les élèves les plus avancés enseignent aux autres. En 1881-1882, les lois de Jules Ferry rendent l’école gratuite, obligatoire et laïque. Le 3 février 1869, un décret établit l’obligation de l’enseignement de l’éducation physique du primaire au lycée.

Table de matières :
1- La mise en place d’une école obligatoire et gratuite voulue par la convention, sera de courte durée.
2- Vers un enseignement monopole de l’Etat, imprégné de religion.
3- Pauvreté, indigence : des maux permanents.
4- L’école mutuelle, désirée par la municipalité.
5- La loi Guizot.
6- La chasse aux maîtres républicains. La loi Falloux
7- De l’école primaire supérieure au cours complémentaire.
8- Situation pécuniaire des enseignants. Par la loi Falloux, l’Etat leur garantit un traitement minimum.
9- Baisse passagère des effectifs de l’école communale due à l’ouverture en 1867 de l’école Saint Louis.
10- L’école communale devient gratuite, obligatoire et laïque. La scolarisation s’accélère.
11- Opposition des instituteurs publics à toute décision risquant de favoriser les établissements privés.
12- Un nouvel enseignement : l’éducation physique.
13- Cours d’adultes.

Vers l’école gratuite, obligatoire et laïque. Châteaulin 1794-1905. Tome 4 : Après l’obligation scolaire et la laïcisation…

Titre : Vers l’école gratuite, obligatoire et laïque. Châteaulin 1794-1905. Tome 4 : Après l’obligation scolaire et la laïcisation…

Auteur : René Dantec

Mots-clés : aide des élèves ; prix Baltzer ; loi 1901 ;

Nombre de pages : 23. p

Editeur : Association des Amis du Musée de l’école rurale en Bretagne.

Résumé :
La loi de 1901 soumet la formation et le fonctionnement des congrégations religieuses au contrôle de l’Etat. De ce fait, aucun nouvel établissement ne peut être fondé sans autorisation. Depuis 1882, des caisses sont établies pour aider les élèves à acquérir leurs fournitures scolaires, des vêtements, se nourrir, etc. En 1879, le prix Baltzer est distribué aux élèves les plus méritants.

Table de matières :
1- Les écoles congréganistes privées s’adaptent aux lois de 1901, 1902, 1904.
2- L’aide aux indigents : fournitures scolaires, vêtements, alimentation. Rôle de la caisse des Ecoles, des sociétés de bienfaisance. L’école privée réclame l’égalité de traitement.
3- Récompenses aux élèves les plus méritants : le prix Baltzer. Faut-il supprimer la distribution des prix ?
4- La coaltarisation des planchers va-t-elle remplacer le balayage à sec des classes ?

Langue bretonne et langue française à l’école rurale en Bretagne de l’Ancien Régime à 1940.

Titre :
Langue bretonne et langue française à l’école rurale en Bretagne de l’Ancien Régime à 1940.

Auteur :
Association des Amis du Musée de l’école rurale en Bretagne.

Mots-clés :
Langue bretonne ; école rurale ; langue française ; 1882 ; loi de Brumaire ;

Pages : 58.p

Editeur :
Association des Amis du Musée de l’école rurale en Bretagne

Résumé :
L’école rurale fait passer les bretons de la langue bretonne à la langue française. Le document décrit le passage de l’école de la loi de Brumaire aux lois de 1882. Dans le monde rural, les notables sont les premiers à demander à ce que le français soit la langue parlée. Durant la période Révolutionnaire, la Convention Nationale déclare qu’il faut faire apprendre le français à tous les citoyens. Durant la Troisième République, l’usage des langues régionales est interdit. Néanmoins, le breton reste la langue de la foi.

Table de matières :
Première partie. De l’Ancien Régime à la IIIème République.
Chapitre 1 : Avant 1789.
– La demande de français dans le monde rural
– L’instruction du peuple n’est guère encouragée
– L’Eglise utilise la langue bretonne dans les petites écoles, sans rejeter le français.
– Un clivage : le breton est la langue du peuple, les classes dominantes recherchent pour elles la langue française.
– Constatant ce fait, des lettrés voient dans la langue bretonne un objet d’étude.
Chapitre 2 : Au cours de la période révolutionnaire de 1798 apparaît, clairement formalisée, la volonté de généraliser la pratique du français par le moyen de l’école.
– La Convention Nationale : il faudra faire apprendre le français à tous les citoyens.
– Le décret est impossible à appliquer. Une direction générale demeure.
Chapitre 3 : De la Restauration à la IIIème République.
– Promouvoir le français et interdire, en principe, l’usage des langues régionales.
– Le breton est toujours en usage dans les écoles rurales du Second Empire.
– La surveillance de l’instituteur par l’Eglise. Le breton à l’école par le catéchisme.
– La pétition pour l’enseignement des langues provinciales.
Chapitre 4 : Sous la troisième République
– La scolarisation obligatoire, en français.
– La législation scolaire et le français.
– Comment appliquer la loi ?
– L’école privée connait une évolution parallèle, en réponse à une demande de français.
– Diversité des méthodes pour faire apprendre le Français (Yann Sohier, une exception).
Deuxième partie.
Chapitre 5 : Des anciens écoliers parlent …
– Apprendre le français : une obligation incontestée par les gens scolarisés avant 1914
– Le « symbole »
Chapitre 6 : Le recul massif d’une langue n’est pas un processus anodin pour l’ensemble du corps social.
– La mesure du changement linguistique
– Le passage du breton au français : diversement subi, contradictoirement décrit et interprété.
– De l’Empire à la fin de la IIIème République, des voix pour tenter préserver le breton.
Chapitre 7 : Langue bretonne et langue française à l’école …
– Paroles d’instituteur sur le breton (son déclin et leurs pratiques).
– Les pouvoirs publics ont une position constante.
– Un reproche historiquement daté, ne pas avoir défendu le breton.
Chapitre 8 : de 1940 à nos jours
Conclusion.
Document annexe n°1
Document annexe n°2
Index des noms de personnes
Repères chronologiques
Bibliographie

Le français, le breton et l’Ecole. (Résumé des interventions du colloque)

Titre : Le français, le breton et l’Ecole. (Résumé des interventions du colloque)

Auteur : Association des Amis du Musée de l’école rurale en Bretagne.

Mots-clés : français ; 1909 ; 1940 ; manuels scolaires ; manuels français-bretons ;

Nombre de pages : 12

Editeur : Association des Amis du Musée de l’école rurale en Bretagne.

Résumé :
La volonté d’apprendre le français aux enfants est ancienne en Bretagne. L’école a conservé le breton comme auxiliaire à l’oral à l’arrivée de la langue française à l’école. Par conséquent, entre 1909 et 1940, il existe des manuels scolaires français-breton ainsi qu’un projet pour enseigner le français par le breton.

Table des matières :
Avant-propos
Le programme de la journée
Les communications
La langue bretonne et l’enseignement : les grands textes sur la question, du catholicon aux lois scolaires de la IIIe République (Hervé CADIOU)
Breton et français au XIXe siècle rythmes et facteurs d’évolution – Résumé (Franch BROUDIC)
Les pratiques pédagogiques à l’égard du breton, à l’école primaire publique et privée (1900-1950) à partir de témoignages recueillis dans le département des Côtes d’Armor (Claude LE DU).
Paroles de marins-pêcheurs, d’agriculteurs et de chefs d’entreprises à propos de la langue bretonne (Ronan LE COADIC).

L’enseignement de la langue française dans les écoles bretonnes. De la période révolutionnaire à la IIIème République. (Essai)

Titre : L’enseignement de la langue française dans les écoles bretonnes. De la période révolutionnaire à la IIIème République. (Essai)

Auteur : Pierre et Yvette Millour

Mots-clés : période révolutionnaire ; maîtrise du français ; langues régionales ;

Nombre de pages : 49. P

Editeur : Association des Amis du Musée de l’école rurale en Bretagne.

Résumé :
A partir de la période révolutionnaire de 1789, le désir de voir les parlers locaux et les langues régionales disparaître au profit du français commence à s’affirmer. Le 7 juin 1880, un décret déclare l’utilisation du français seulement comme langue d’enseignement. A partir de 1889, des livres pour aider à la maîtrise du français sont rédigés. Dans les campagnes bretonnes, le français est considéré comme un facteur d’émancipation et de progrès.

L’enseignement de la morale à l’école communale sous la 3ème République.

Titre : L’enseignement de la morale à l’école communale sous la 3ème République.

Auteur : Pierre Morisset.

Mots-clés : instruction religieuse ; morale laïque ; laïcité ;

Nombre de pages : 137. P

Editeur : Association des Amis du Musée de l’école rurale en Bretagne.

Résumé :
Depuis longtemps, l’instruction religieuse fait partie des programmes d’enseignement. En 1887, l’enseignement moral laïque, qui apparait en 1882, se distingue de l’enseignement religieux sans le contredire. Pourtant, les programmes de morale de 1887, 1923 et 1938 ignorent les mots « laïque » et « laïcité ». La morale qui commence comme docte leçon devient présente dans toutes les matières scolaires.

Table de matières :
– Introduction
– « L’instruction publique doit être sécularisée » (Jules Ferry).
– « L’instruction morale laïque se distingue de l’enseignement religieux sans le contredire » (Instructions de 1887).
– La docte leçon.
– De la morale en toutes choses.
– « Le monde et les temps changent ».
– Un douloureux entracte : le temps de la guerre.
– « La morale de nos pères » en question.
– « Laïque ? ».
– Conclusion.

L’instituteur L’institutrice de l’école publique de 1792 à 1940. Quelques aspects de leur histoire nationale et régionale. Tome 2 : 1870-1940.

Titre : L’instituteur L’institutrice de l’école publique de 1792 à 1940. Quelques aspects de leur histoire nationale et régionale. Tome 2 : 1870-1940.

Auteur : Pierre Morisset

Mots-clés : salaire des instituteurs ; vêtement de l’instituteur ; la loi Goblet ; instituteur ;

Nombre de pages : 143. P

Editeur : Association des Amis du Musée de l’Ecole rurale en Bretagne.

Résumé :
L’école s’est affirmée depuis que les assemblées de la Première Révolution française en ont élevé les principes. A partir de 1881, l’instituteur n’est plus le serviteur du curé ou du maire mais de la France, de la patrie et de la République. Avant la loi Goblet, il y a une participation communale au salaire des instituteurs et institutrices. Le vêtement de l’instituteur et de l’institutrice a tendance à paraître bien soigné et sévère pour donner un statut social avantageux.

Table des matières :
1- Avertissement
2- Avec les hussards noirs de la IIIème République
3- Documentaire :
3-1- Le mythe : « toute la commune pleurait »
3-2- « Il n’est pas un monstre et il n’est pas un saint »
3-3- Avant le vote des lois Jules Ferry
3-4- Quel milieu rural pour l’instituteur rural
3-5- Jules Ferry et les instituteurs
3-6- L’ambition de Jules Ferry
3-7- L’enseignement primaire est obligatoire
3-8- L’enseignement primaire sera gratuit
3-9- Avant la loi de la gratuité
3-10- Avant la gratuité de l’enseignement. Un exemple de tenue du rôle de la rétribution scolaire dont s’acquittent les parents des élèves 1880.
3-11- Avant la gratuité de l’enseignement. Un exemple de tenue de la liste des élèves « gratuits » ayant fréquenté l’école et des sommes dues par la commune en complément de la rétribution scolaire destinée à l’instituteur.
3-12- Le problème fondamental : la laïcité
3-13- La création de l’école communale de Lannion
3-14- Avant la loi Goblet
3-15- Epreuves du Brevet Elémentaire
3-16- Epreuves du Brevet Supérieur
3-17- La condition de l’instituteur entre 1900 et 1914
3-18- L’instituteur, l’institutrice et le vêtement
3-19- Un instituteur de l’école publique
3-20- Le travail de chaque jour
4- Petite histoire des Ecoles Normales d’instituteurs et d’institutrices 1794-1940
5- Documentaire
5-1- Les projets d’organisation des Ecoles Normales
5-2- A la République il faut des maîtres instruits
5-3- L’emploi du temps journalier d’un élève-maître
5-4- Liste des éléments du trousseau exigé
5-5- De la fierté du port de l’uniforme à son abandon
5-6- Souvenirs d’une élève-maîtresse
5-7- Quelques pages d’un cahier d’un élève-maître
5-8- Quelques témoignages de « normaliens »
6- Petite bibliographie sur les Ecoles Normales
7- Bibliographie générale
8- Index des textes législatifs
9- Remerciements

L’instituteur l’institutrice publics de 1792 à 1940. Tome1. 1792-1870.

Titre : L’instituteur l’institutrice publics de 1792 à 1940. Tome1. 1792-1870.

Auteur : Pierre Morisset.

Mots-clés : petites écoles ; paiement des instituteurs ; brevet de capacité ;

Nombre de pages : 214. P

Editeur : Association des Amis du Musée de l’Ecole rurale en Bretagne.

Résumé :
En 1774, le clergé du diocèse est chargé d’organiser et de surveiller les « petites écoles ». L’instruction est confiée à l’Eglise catholique. En 1793, un décret stipule que le paiement des instituteurs et des professeurs sera à la charge de la nation. Le 29 février 1816, un brevet de capacité est exigé pour enseigner. Une enquête réalisée en 1820 dans l’arrondissement de Brest montre que seulement 27 instituteurs sur 58 sont brevetés ainsi que 2 institutrices sur 11.

Table de matières :
1- Avertissement
2- Avant 1789
3- Documentaire
3-1 Ordonnance de Mgr Jean-François de la Marche, 1774
3-2 La condition du « maître d’école »
3-3 L’école de Restif de la Bretonne
3-4 Quelques pages d’un cahier d’élève, Recouvrance 1750
3-5 Les petites écoles dans le département du Finistère
4- Sous la période révolutionnaire
5- Documentaire
5-1 Les idées révolutionnaires
5-2 Les projets scolaires de la période révolutionnaire
5-3 Affiche pour le recrutement d’instituteurs et d’institutrices
5-4 L’examen d’un candidat aux fonctions d’instituteur, Trégarvan, 1794
5-6 Une nomination d’instituteur en 1795
5-7 Être instituteur à Pouldreuzic en l’an III de la République, 1796
5-8 Les écoles primaires en Finistère, an VI, 1799
6- Sous la période Napoléonienne
7- Documentaire
7-1 Le décret impérial du 17 mars 1808
7-2 L’établissement d’une école dans les Côtes-du-Nord à Pluzunet
7-3 l’ordre du travail, la discipline, l’enseignement
7-4 A l’école sous le 1er empire
8- Sous la Restauration 1815-1830
9- Documentaire
9-1 L’ordonnance royale de 1816, extraits
9-2 Brevet de capacité 3e degré, 1822
9-3 Un instituteur en Lorraine, sous la Restauration
9-4 Comment apprendre à lire et à écrire vers 1818 en Finistère-Nord
9-5 Aller à l’école dans le département de la Creuse
9-6 Instituteur en Normandie en 1820
9-7 Aperçu de la situation en 1820 dans l’arrondissement de Brest
9-8 Quelques réponses à cette enquête
10- Sous la monarchie de juillet 1830-1848
11- Documentaire
11-1 La loi Guizot
11-2 Les écoles primaires de garçons et de filles en Finistère, en 1833
11-3 L’état de l’enseignement primaire en France en 1833
11-4 La foire aux « maîtres d’école »
11-5 La loi Guizot et la religion
11-6 Conseils donnés par Guizot au corps des inspecteurs des écoles
11-7 La condition d’un instituteur finistérien, Guillaume Poher
11-8 A Plobannalec en 1846, le maire et l’instituteur
11-9 Etat d’esprit de la commune de Polaré entre 1833 et 1887
11-10 L’inspection : les inspecteurs, les instituteurs après la loi Guizot
11-11 Etat de la scolarisation en Finistère, 1838
11-12 Etat de la scolarisation en Finistère, 1842-1843
11-13 Souvenirs d’un écolier breton
12- Sous la seconde République 1848-1851
13- Documentaire
13-1 Les intentions généreuses du gouvernement provisoire
13-2 A l’usage des instituteurs sont édités des catéchismes républicains
13-3 Les écoles publiques en 1850 en Finistère
13-4 La loi Falloux, extraits
13-5 Le projet de loi Falloux vu par un de ses partisans
13-6 L’école de St Méen en Finistère, en 1851
14- Sous le second empire 1851-1870
15- Documentaire
15-1 L’instituteur et le curé au début du second Empire
15-2 A l’école communale à Paris, entre 1855 et 1858
15-3 Est-il bien nécessaire de fréquenter l’école ?
15-4 Jacques Le Hénaff, instituteur dans les Côtes-du-Nord, en 1854
15-5 Etat des écoles de filles, en Finistère, 1855
15-6 Yves Lazennec, instituteur à Brasparts, sous le second empire
15-7 Les difficultés du métier d’instituteur, à Brest, 1861
15-8 Vers la gratuité et l’obligation scolaire
15-9 La loi Duruy, extraits
15-10 Situation des écoles en Finistère, en 1870
16- Remerciements

L’instruction en Finistère de 1820 à 1880. D’après le Dictionnaire de Pédagogie de Ferdinand Buisson.

Titre : L’instruction en Finistère de 1820 à 1880. D’après le Dictionnaire de Pédagogie de Ferdinand Buisson.

Auteur : Pierre Morisset

Mots-clés : Dictionnaire de pédagogie ; scolarisation en Finistère ; l’état des internats ;

Nombre de pages : 72. P

Editeur : Association des Amis du Musée de l’Ecole rurale en Bretagne.

Résumé :
Ce travail présente certains extraits du dictionnaire de Ferdinand Buisson. Il présente ensuite des cartes qui dévoilent les petites écoles et la scolarisation en Finistère et un extrait du rapport de Condorcet en 1732. D’autres données montrent également l’état de l’alphabétisation en milieu rural et des conscrits finistériens en 1869. Enfin, l’auteur met en lumière l’effort financier de l’Etat et montre un descriptif de l’état des internats à l’époque à travers le récit d’une élève.

Table de matières :
– Introduction
– Extrait du Dictionnaire de pédagogie
– Postface
– Ferdinand BUISSON, biographie sommaire
– Photocopie de page du dictionnaire
– Les petites écoles en Finistère
– Extrait du rapport de Condorcet en 1732
– La scolarisation en Finistère – cartes
– L’alphabétisation en milieu rural
Etat de l’instruction en 1831 dans quelques communes du canton de Châteaulin
Un sondage de Plonevez-Porzay
Pages d’un cahier d’élève de l’école communale de Plonevez-Porzay
– Etat de l’instruction des conscrits finistériens en 1869
– La scolarisation en Finistère (Photographies)
– Les internats primaires et leur persistance
– L’effort financier de l’Etat
– Une école de hameau

La langue bretonne et l’enseignement. Du Catholicon aux Lois Scolaires de la IIIème République. Travail d’études et de recherches par Hervé Cadiou.

Titre : La langue bretonne et l’enseignement. Du Catholicon aux Lois Scolaires de la IIIème République. Travail d’études et de recherches par Hervé Cadiou.

Auteur : Hervé Cadiou

Mots-clés : catholicon ; enseignement ; breton ;

Nombre de pages : 135. P

Editeur : Association des Amis du Musée de l’école rurale en Bretagne.

Résumé :
Sous l’Ancien Régime le latin est la seule langue admise dans l’enseignement. Au milieu du XVe siècle, un catholicon est composé. Il s’agit d’un dictionnaire breton-latin-français pour les clercs en Bretagne et ceux qui débutent dans l’apprentissage du latin. Un Dictionnaire et Colloques français et breton est composé en 1626. Pendant la Révolution de 1789, une lutte contre les langues régionales se met en place. Alors que le français est enseigné dans les écoles de ville, le breton reste toujours présent dans les écoles rurales.

Table de matières :
Introduction
Chapitre 1 : Sous l’Ancien Régime
1- Le latin, longtemps seule langue admise dans l’enseignement
2- Le « Catholicon », manuel de latin par le breton
3- Progrès de l’alphabétisation après la Renaissance
4- Le « Colloque » de Quiquer : manuel de breton
5- … et de français
6- « Le Sacré Collège » de Maunoir : apprendre le breton au clergé
7- Multiplication des livres de piété en langue bretonne
8- Les dictionnaires de Le Pelletier et Grégoire de Rostrenen : pour les lettrés
9- Les lettres à Grégoire : un tableau de la situation à la fin du XVIIIe siècle.
Chapitre 2 : La période révolutionnaire (1789-1795)
1- La lutte contre les langues régionales : un bref épisode
2- Les objectifs de la Révolution : combattre l’ignorance et l’obscurantisme
3- Langue régionale et retard de l’alphabétisation
4- La langue bretonne associée à l’obscurantisme
5- La Révolution de 1789, un simple intermède ?
Chapitre 3 : Du Directoire aux lois scolaires de la IIIème République
1- Poursuite des pratiques scolaires héritées de l’Ancien Régime
2- Des objectifs différents poursuivis par l’évêque et le préfet
3- Apprendre le français dans les écoles de la ville
4- Le breton toujours présent dans les écoles rurales
5- Des maîtres d’école improvisée
6- Rejet d’un projet officiel d’enseignement bilingue
7- Mais l’enseignement bilingue demeure
8- Les « Colloques », manuels scolaires au XIX siècle
9- Des manuels de traduction
10- Le catéchisme en breton, premier élément des programmes scolaires
11- L’évêque s’explique sur le catéchisme en breton
12- La langue bretonne en marge de la civilisation
13- Un rôle particulier dévolu aux femmes
14- Une société fermée sur elle-même
15- Le chemin de fer apprendra plus de français aux bretons que les instituteurs
16- Des celtomanes aux bretonnistes : le breton objet d’étude
17- … au service d’une politique conservatrice
18- Renforcement du tryptique : breton-religion-réaction
19- L’Eglise abandonne le purisme des bretonnistes
20- Les protestants et la langue bretonne
21- La première pétition pour l’enseignement des langues provinciales
Conclusion
Bibliographie

Les écoles primaires dans le Léon (1796-1833) Volume 1

Titre : Les écoles primaires dans le Léon (1796-1833)

Auteur : Gérard Jaffredou

Mots-clés : Léon ; catéchisme ; écoles primaires de la République ;

Nombre de pages : 193. P

Editeur : Association des Amis de l’Ecole rurale en Bretagne.

Résumé :
Les statuts du diocèse de Léon rappellent constamment à tous les recteurs de veiller à ce que leurs élèves prient Dieu et de les instruire du catéchisme. Les écoles primaires de la République n’existent que dans les villes ou les bourgs et, exceptionnellement dans quelques communes de la côte ou de l’intérieur, qui sont plutôt le domaine des écoles particulières. L’instituteur doit se munir d’un certificat de bonne vie et moeurs, accordé par le curé et le maire.

Table de matières :
Avant-propos
Notes
Sources
Bibliographie
Abréviations
Chapitre 1 : XVe-XVIIIe siècle. Les écoles dans les limites du Finistère.
Chapitre 2 : 1833. Continuités et déséquilibres.
Chapitre 3 : An VI. Léon. Les rapports des municipalités : un bilan douteux
Chapitre 4 : An VI. Léon. Ecole primaires, privées ou clandestines ?
Chapitre 5 : 1820. Bas-Léon. Les écoles et la loi.
Chapitre 6 : 1820. Bas-Léon. Les écoles et la demande scolaire.
Chapitre 7 : An VI-1833. Le mouvement de scolarisation : ses inégalités.
Chapitre 8 : An VI-1833. Scolarisation, richesse et pauvreté des communes.
Conclusion
Index des noms des personnes
Index des noms des lieux
Liste des Annexes (Cartes et tableaux)
Table de matières

Les écoles primaires dans le Léon (1796-1833) Volume 2. Annexes

Titre : Les écoles primaires dans le Léon (1796-1833) Volume 2. Annexes

Auteur : Gérard Jaffrédou

Mots-clés : cartes ; annexes ; listes des communes de Brest ;

Nombre de pages : 32. P

Editeur : Association des Amis du Musée de l’Ecole rurale en Bretagne.

Résumé :
Ce livre contient les Annexes du premier volume intitulé « Les écoles primaires dans le Léon (1796-1833) Volume 2. Annexes ». Il contient des cartes, des listes de communes de l’arrondissement de Brest, etc.

Les souvenirs d’un frère de Ploermel instituteur en Finistère.

Titre : Les souvenirs d’un frère de Ploermel instituteur en Finistère.

Auteur : Pierre Morisset et Anne Henry

Mots-clés : Frères de Ploermel ; journées d’écolier ; vie d’instituteur

Nombre de pages : 151. P

Editeur : Association des Amis du Musée de l’Ecole rurale en Bretagne.

Résumé :
Ce travail est la retranscription d’un entretien oral entre Anne Henry et Pierre Morisset et le Frère Le Guirriec, ancien enseignant de la congrégation des Frères de Ploermel. Dans ce récit, l’ancien enseignant raconte sa vie depuis son jeune âge à Lopérec, ses journées d’écolier, son service militaire au Maroc en 1920, sa vie d’instituteur et de directeur d’école, ses loisirs et sa retraite.

Table de matières :
1- Je suis né à Lopérec
2- Ma première école
3- Chambriste à l’école privée de Brasparts
4- J’apprends à lire
5- J’apprends à écrire
6- Parler breton à l’école
7- Une journée d’écolier
8- Le jeudi
9- Punitions et récompenses
10- Nos jeux
11- Pendant les vacances scolaires
12- Le certificat
13- Après le certificat
14- Le congréganiste et l’Etat
15- Mes débuts d’instituteur
16- Pendant la guerre
17- A Tréffiagat
18- Directeur d’école à Brasparts
19- En classe
20- Les loisirs des enfants
21- Mes loisirs
22- J’ai quitté Brasparts et l’enseignement en 1972
23- Qu’est ce que je peux bien dire sur ce qui s’est passé ?
24- Annexes
Annexes :
1- Une lettre de la mère du Frère Le Guirriec à sa fille
2- Apprendre à lire : une page de la méthode des Frères de Ploermel
3- Le breton et le français pour l’apprentissage du catéchisme en 1902
4- Des épreuves du certificat d’études au centre de Brasparts en 1913
5- Le cinquantenaire de la vie religieuse de la soeur de Frère Le Guirriec – Extrait de l’allocution prononcée à l’occasion des noces d’or de la Révèrende Mère Ange-Stanislas
6- Extrait du rapport de Monsieur le Sous-Préfet de Châteaulin sur l’école privée de Brasparts en 1902
7- Le cahier-journal de classe et la préparation de classe
8- Extrait du « cahier des Annales » de l’école privée Saint-Michel
9- Poste d’enseignement occupés par Frère Le Guirriec pendant sa carrière enseignante.

Une salle de classe dans la campagne bretonne sous la IIIe République.

Titre : Une salle de classe dans la campagne bretonne sous la IIIe République.

Auteur : Pierre Morisset

Mots-clés : outils du maître ; classe rurale ; organisation de la salle ;

Nombre de pages : 37. P

Editeur : Association des Amis du Musée de l’Ecole rurale en Bretagne.

Résumé :
Ce livret est un descriptif de la classe rurale. La IIIe République a la volonté de répandre l’instruction dans toutes les communes. Il faut donc beaucoup de maîtres et beaucoup d’écoles. Il décrit l’architecture de l’école et l’organisation ainsi que la préparation de la salle par le maître en décrivant les outils de ce dernier et ceux des élèves. Ce livret évoque également l’inconfort des élèves dans la classe et la pauvreté des moyens de l’école rurale.

Vers l’école gratuite, obligatoire et laïque. Châteaulin 1794-1905. Tome 2. De l’école communale congréganiste à l’école laïque de filles.

Titre : Vers l’école gratuite, obligatoire et laïque. Châteaulin 1794-1905. Tome 2. De l’école communale congréganiste à l’école laïque de filles.

Auteur : René Dantec

Mots-clés : école gratuite de filles ; loi Guizot ; loi Duruy ; école communale de filles ;

Nombre de pages : 32.p

Editeur : Association des Amis du Musée de l’école rurale en Bretagne.

Résumé :
La première école privée de filles ouvre en 1829. L’ouverture d’une école gratuite de filles indigentes voit le jour en 1833 grâce à la loi Guizot, qui oblige chaque commune à avoir une école primaire gratuite de filles. L’école Communale gratuite de filles indigentes devient Ecole Communale de filles, exigée par la loi Duruy. Les institutrices congréganistes sont remplacées par des institutrices laïques en septembre 1833.

Table de matières :
1- La mise en place d’une école communale de filles n’est jamais à l’ordre du jour du conseil municipal. Existence d’une école privée de filles à partir de 1829.
2- En 1840 ouverture d’une école communale gratuite des filles indigentes dirigée par une congréganiste.
3- L’école communale gratuite des filles indigentes devient l’école communale des filles : la loi Duruy l’exige (1867).
4- 1881-1882. L’école communale devient gratuite, obligatoire et laïque. Les institutrices congréganistes demandent le 26 novembre 1882 à bénéficier du traitement légal. Le conseil municipal estime qu’elles dénoncent la convention tacite passée avec la commune… Elles seront remplacées par des institutrices laïques en septembre 1833.
5- La construction d’une nouvelle école pour les filles s’impose : sept ans de discussions.
6- Cours d’adultes pour les filles.

Vers l’école gratuite, obligatoire et laïque. Châteaulin 1794-1905. Tome 3 : De la salle d’asile communale à l’école maternelle laïque 1844-1904.

Titre : Vers l’école gratuite, obligatoire et laïque. Châteaulin 1794-1905. Tome 3 : De la salle d’asile communale à l’école maternelle laïque 1844-1904.

Auteur : René Dantec

Mots-clés : salle d’asile ; laïcisation de l’école ; enseignants congréganistes ;

Nombre de pages :22. p

Editeur : Association des Amis du Musée de l’école rurale en Bretagne.

Résumé :
A Châteaulin, une salle d’asile est créée en 1844 à l’école mais ses proportions sont très restreintes pour le nombre d’enfants. Cette salle reste gratuite jusqu’en septembre 1855. Les enseignants congréganistes sont nommés et inspectés par l’administration académique. En 1867, une nouvelle salle d’asile est créée. En juin 1902, la loi de laïcisation de l’école primaire publique est votée.

Table de matières :
1- 1844 création d’une salle d’asile : un bâtiment aux proportions trop restreintes pour le nombre d’enfants ; enseignants, méthodes.
2- Gratuite jusqu’en septembre 1855.
3- Des enseignants congréganistes nommés, inspectés par l’administration académique.
4- 1867 construction d’une nouvelle salle d’asile.
5- Laïcisation de la salle d’asile.

Éléments pour une histoire de la scolarisation en Basse-Bretagne. L’enquête Guizot (1833) en Finistère : Léon, Trégor, Cornouaille.

Titre : Éléments pour une histoire de la scolarisation en Basse-Bretagne. L’enquête Guizot (1833) en Finistère : Léon, Trégor, Cornouaille.

Auteur : Gérard Jaffrédou.

Mots-clés : écoles primaires ; méthode d’enseignement ; l’état de l’enseignement

Nombre de pages : 448. P

Editeur : Association des Amis du Musée de l’école rurale en Bretagne.

Résumé : Cet ouvrage est une compilation du contenu des Archives nationales à propos de l’enquête Guizot de 1833 qui touche 150 écoles du Finistère dans les arrondissements de Brest, Morlaix, Châteaulin, Quimper et Quimperlé. Cet ouvrage contient également certaines observations des inspecteurs dans chaque arrondissement.

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